vendredi, 28 septembre 2007
ÉPUISÉ
Depuis dix jours, date à laquelle j'ai repris mes cours de littérature jeunesse, une pensée en rien éphémère mais bien plutôt méthémérine me taraude. Tout est parti d' un mot, un mot oui, un seul mais un à tendance polysémique. Le mot de ces dix derniers jours est épuisé . Pour lui, mon vieux Bob m'indique deux sens: 1. A bout de force: ainsi le mystérieux somnambule qui déposa des commentaires dans le précédent billet devait-il être épuisé par ses marches nocturnes involontaires. 2. Qui n'est plus édité: c'est ce qu'osa m'affirmer une libraire près des Buttes Chaumont...