ORPHELINE
dimanche, 08 février 2009
Lire c'est entrer en deuil lorsque se profile la dernière page, la dernière ligne. Dans ces moments-là, j'envierais presque ceux qui jamais ne lisent.
L'attentat, puis Les hirondelles de Kaboul de Yasmina Khadra engloutis dans une incivique absence au reste du monde. Attendre en une impatience fiévreuse le retour des Sirènes de Bagdad à la médiathèque.
7 commentaires
oui (que dire d'autre, sinon que je n'ai pas lu ceux-là et que combinant ton expérience à la mienne je ne devrais pas les lire ?)
Si tu te lances dans ces romans, un conseil: festina lente car terrible est le moment où il faut refermer le livre.
que dire de l'attente d'un livre qui n'est pas encore fini d'être écrit comme le futur dernier de François Place qui n'arrivera qu'en octobre ou.... et d'une suite hypothétique de la déclaration, et la résistance.....
MOUCHERON: en attendant, place au vol des hirondelles!
message supprimé
NINA: L'espace des commentaires comme son nom l'indique est prévu pour commenter le billet.
"C'est le commencement qui est le pire, puis le milieu puis la fin ; à la fin, c'est la fin qui est le pire".
(Samuel Beckett)
Les commentaires sont fermés.