Aujourd'hui animal.
samedi, 01 septembre 2012
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Petit matin de septembre. La fraîcheur n'est déjà pas la même qu'hier. Quelque chose dans l'air dit que les mois chauds sont derrière nous. Est-ce pour cela que le ciel s'est mis en oripeaux? Révérence à l'été. Lignes de nuages et de fils électriques, tangente prise par la migration des limicoles.
Entré dans le tableau, sans invitation, le réverbère. Il éclairote. Il sent bien que sa présence à cette heure manque de civilité. Faudra qu'on l'aide à s'éteindre plus tôt.
12 commentaires
la nature semble s'arrêter parfois..immobile.
et regarde les nuages passer.
C'est vrai que le temps des migration va reprendre...
Hum hum.
Il fait fraichou partout hou!
ou(i)!
Ah l'inutilité des réverbères qui s'endorment tardivement pour se réveiller, comme des insomniaques, au beau milieux de la nuit.
Celui-là se réveille toujours trop tôt.
Vous avez bien de la chance d'avoir des saisons bien marquées. ça permet toujours de désirer quelque chose de nouveau sans se lasser.
Vous me comprenez quand je parle de ciel bleu arrogant?
Pour sûr, tu n'es pas normande!
Je suis comme télophase, je trouve que des saisons marquées ont beaucoup d'intérêt… Elles permettent d'apprécier aussi.
J'aime beaucoup cette photo, ce ciel tracé au pinceau.
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