Post-capilotade
vendredi, 23 juin 2017
La fraicheur est enfin de retour. Après quatre jours de canicule. Quatre jours lors desquels monter deux étages pour gagner ma salle m'a semblé un défi plus surhumain que gravir l'Everest. Quatre jours à voir tomber les élèves avant les mouches. Quatre jours à espérer qu'une main bienveillante se décide à débrancher le souffle chaud en continu. Quatre jours à presque regretter de ne pas avoir choisi l'option "clim" pour ma voiture.
Quatre jours où je me suis évaporée, corps et pensées. Seule la venue du soir me faisait battre à nouveau, coeur et mots. Heures nocturnes dans mon potager à laisser l'énergie des cucurbitacées, poivrons et haricots grimper en moi.
5 commentaires
Au moins y a-t-il le jardin.... oui ces jours de chaleurs furent particulièrement émollients... Bon weekend
Bon week-end kwarkito !
Bonjour Bacchante!
Ces jours que vous avez eus, si chauds, aident à comprendre tant de choses sur "la paresse" des gens du sud, non?
Lenteur de corps et d'esprit, c'est ça, comme engourdis....
Chouette ton potager! Bonne journée.
Inhumaines les heures de l'après-midi ! J'aurais aimé cultiver la paresse mais cours jusqu'à 17 h !!! Bonne journée, Colo !
ouf ! on respire de nouveau et le cerveau aussi
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