vendredi, 12 avril 2013
Une pause, quatre soupirs.
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Les unes de nos journaux pourraient jouer unanimement de cet euphémisme: "Contraints à la pause". Contraint à la pause le planteur capillaire qui pensait que, dans notre monde capitalisé jusqu'à la pointe du cheveu, tous les chemins menaient à Singapour. Deux soupirs . Contraint à la pause le grand rabbin qui, après avoir usurpé un titre d'agrégé de philosophie, s'imaginait que penser consistait à placer son nom sur la pensée d'un autre pour la faire sienne. Deux soupirs . ET vous votre pause -vous savez celle entre deux temps de travail- à quoi ressemble-t-elle? Hier,...