BANCAL ALBAN (3)
jeudi, 10 janvier 2008
Que ta porte est lourde!
Des albums d'une main, des recueils de l'autre,
Il ne reste plus qu'à
Poser sur les marches
Les brouhaha et tohu-bohu
Du dehors, du dedans,
Il ne reste plus qu'à
Arcbouter le corps, pousser
Et entrer
Enfin.
Mais aussi tôt
La halte obligée dans le hall
B'jour mamzelle la Pythie
Toujours cet air hagard
Comme sur le départ
Des albums d'une main, des recueils de l'autre,
Il ne reste plus qu'à
Poser sur les marches
Les brouhaha et tohu-bohu
Du dehors, du dedans,
Il ne reste plus qu'à
Arcbouter le corps, pousser
Et entrer
Enfin.
Mais aussi tôt
La halte obligée dans le hall
B'jour mamzelle la Pythie
Toujours cet air hagard
Comme sur le départ
Et déja sur le damier du sol
Se joue une partie d'échec
Lumière contre obscurité mate
Et sur les panneaux
Le pataquès des mots
Tente de se déjouer
Des effluves chimiques si propres sur elles
Poèmes sonnés contre Ajax et autres confrères
Emplie des plis épiques de cette arène
Je garde lointaine
Quelques minutes encore
La traversée du couloir
Qui mènera au banc blanc
Dehors
Se joue une partie d'échec
Lumière contre obscurité mate
Et sur les panneaux
Le pataquès des mots
Tente de se déjouer
Des effluves chimiques si propres sur elles
Poèmes sonnés contre Ajax et autres confrères
Emplie des plis épiques de cette arène
Je garde lointaine
Quelques minutes encore
La traversée du couloir
Qui mènera au banc blanc
Dehors
Lui, le banc, il garde, garde,
Regarde aussi la ville silencieuse et pétrifiée.
La tenancière de ces lieux
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