Dans le vent, ces arbustes qui restent debout nous rapellent que nous devons l'être aussi.
Oui, se dresser inlassablement sur le chemin.
Plier, s’emmêler et se recroqueviller, corps et âme...le vent casse rarement "pour de vrai"
Puis rebondir.
Ta photo correspond au temps qu'il fait ce matin, merci!
Le vent casse rarement "pour de vrai" : oui tu as raison. Les bourrasques sont là pour réveiller notre résistance.
Fin d'hiver venteuse un peu partout, semble-t-il. Ce matin, il semble calmé ici et le ciel est clair - une tout autre impression en sortant.
Cela dit, le vent t'a inspiré un beau poème !
Hier le vent s'est enfin tu. C'était étonnant ce silence revenu.
Tes lectrices-lecteurs font une belle lecture de ton poème. Qu'ajouter, sinon que je me sens en agréable compagnie.
Merci de t'être joint à nous!
avec l'iode et la fraicheur ça fait un bain de jouvence, enfin ça réveille et aide à rester droit.
Ce n'est pas une ode au i mais au e!
Ces vers, chère "revenente", rêvent d'éternel été et le vent ferme les éléments...
Element erre !
Et nos poèmes encore s'en iront sur la route des hommes, portant semence et fruit dans la lignée des hommes d'un autre âge (Saint John Perse)
Insurrection poétique, au sens premier du terme.
Merci Zoë
Ils sont émouvants ces deux arbustes frêles guetteurs obstinément dressés face au vent et à l'océan parce qu'ils se doivent d'être là précisément à cette place
Oui émouvants dans leur vaillance. Merci pour votre visite
16 commentaires
Dans le vent, ces arbustes qui restent debout nous rapellent que nous devons l'être aussi.
Oui, se dresser inlassablement sur le chemin.
Plier, s’emmêler et se recroqueviller, corps et âme...le vent casse rarement "pour de vrai"
Puis rebondir.
Ta photo correspond au temps qu'il fait ce matin, merci!
Le vent casse rarement "pour de vrai" : oui tu as raison. Les bourrasques sont là pour réveiller notre résistance.
Fin d'hiver venteuse un peu partout, semble-t-il. Ce matin, il semble calmé ici et le ciel est clair - une tout autre impression en sortant.
Cela dit, le vent t'a inspiré un beau poème !
Hier le vent s'est enfin tu. C'était étonnant ce silence revenu.
Tes lectrices-lecteurs font une belle lecture de ton poème. Qu'ajouter, sinon que je me sens en agréable compagnie.
Merci de t'être joint à nous!
avec l'iode et la fraicheur ça fait un bain de jouvence, enfin ça réveille et aide à rester droit.
Ce n'est pas une ode au i mais au e!
Ces vers, chère "revenente", rêvent d'éternel été et le vent ferme les éléments...
Element erre !
Et nos poèmes encore s'en iront sur la route des hommes, portant semence et fruit dans la lignée des hommes d'un autre âge (Saint John Perse)
Insurrection poétique, au sens premier du terme.
Merci Zoë
Ils sont émouvants ces deux arbustes frêles guetteurs obstinément dressés face au vent et à l'océan parce qu'ils se doivent d'être là précisément à cette place
Oui émouvants dans leur vaillance. Merci pour votre visite
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