biffure 125
lundi, 25 octobre 2021
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Je ne bifferai pas cette dernière page de Rêver debout.
Je veux garder chacun des mots, les graver au fronton de ma mémoire : ils rallumeront les rêves les jours où la roche semblera trop compacte, le mur trop épais pour ouvrir une brèche.
Madame Salvayre, merci.
3 commentaires
Merci du partage...
Ah oui alors, merci Cervantés, Don Quichotte et toi qui te souviens combien j’apprécie Lydie Salvayre.
C'est noté.
Hasta pronto, un besito
Merci pour cette lecture. En espérant que les "brèches ouvertes" par les"allumés de son espèce" nous fassent sortir de l'aveuglement !
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