Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 01 octobre 2007

RIEN N'EST PLUS BEAU...

8a62c88902ffd0ae541bf7bbd6817cde.jpg

 ... qu'un jour qui ne se passe pas exactement comme on l'avait projeté sur la toile quotidienne. C'est à midi que l'imprévu s'est improvisé. Elle est arrivée alors que tous avaient déjà vidé la salle de cours. Depuis la première heure, alors que certains encore tentaient de s'extraire des volutes du week-end -jeteurs de gourme du samedi soir, votre regard, ce matin, était éteint- elle avait eu au coin de la pupille cet éclat de malice. Je l'avais remarqué sans m'y attarder. Discrète présence pétillante.

Sauf qu'à midi, j'ai compris que les bulles de malice prenaient leur source dans un album d'Armelle Barnier, déniché dans la librairie caennaise Le cheval-crayon. Je l'ai lu et j'ai tout de suite su que je devais lui ouvrir grand mes cours de l'après-midi.

Pour vous tous qui n'étiez pas en salle 105 aujourd'hui, voici la première page malheureusement sans l'illustration de Vanessa Hié...

RIEN N’EST PLUS BEAU
Que les GOUTTES d’eau qui tombent du parapluie
Qu’un COQUELICOT rouge au milieu d’un pré,
Que le DESSIN que ma maman m’a fait,
Qu’un arc-en-ciel après la PLUIE.

EN FAIT
Rien n’est plus beau que les gouttes
De coquelicot sur le dessin de la pluie.

 

La poésie peut aussi être là dans la rencontre imprévue de mots. La page suivante commence par RIEN N'EST PLUS LOIN et sa collègue de droite par RIEN N'EST PLUS PROCHE...

Vous l'aurez compris, ces deux pages vont se réinventer au hasard des deux vers que vous m'enverrez. L'un commencera par "RIEN N'EST PLUS LOIN que" et l'autre par "RIEN N'EST PLUS PROCHE que".

Les deux sont à envoyer à beaadded@gmail.com avant samedi 6 octobre, 6h06, le cachet de la toile faisant foi.

Belle écriture..

À Annhélène 

Commentaires

quelle jolidée ! je vais essayer de trouver un peu de temps pour ces deux pages-là

Écrit par : Agaagla | mardi, 02 octobre 2007

Les commentaires sont fermés.