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mardi, 29 novembre 2011

SENTENCE (2)

shakespeare

A présent des révoltes incessantes lui reprochent ses parjures.
Ceux qu’il commande n’agissent que sur commande. Rien par amour.
Maintenant, il sent son titre qui pend, flasque, sur lui,
Comme la robe d’un géant sur un faussaire nain.
William Shakespeare, Macbeth

Commentaires

La colère gronde...

Écrit par : Tania | mardi, 29 novembre 2011

et la tempête se soulève...

Écrit par : la bacchante | mardi, 29 novembre 2011

...Des coups de pieds aux fesses qui se perdent !!
H.Z

Écrit par : Henri Zerdoun | mercredi, 30 novembre 2011

@ henri zerdoun: ... donnés par un pied comme celui-là, ils seraient mémorables!

Écrit par : la bacchante | mercredi, 30 novembre 2011

Oh comme j'aimerais que cela puisse se réaliser..
H.Z

Écrit par : Henri Zerdoun | mercredi, 30 novembre 2011

@ Ce n'est pas infaisable même s'il faut être beaucoup pour soulever ce pied-là...

Écrit par : la bacchante | mercredi, 30 novembre 2011

Les commentaires sont fermés.