mardi, 08 janvier 2013
Aujourd'hui une question lue quelque part.
283/366
C'est une affirmation que j'ai lue ce matin en effeuillant mon calendrier. Un aphorisme tiré des Feuillets d'Hypnos de René Char. La pensée condensée à sa plus courte expression: "L'impossible, nous ne l'atteignons pas, mais il nous sert de lanterne". Libre à vous d'y ajouter un point d'interrogation dubitatif.
Ensuite, pour donner un peu de rigueur à ce billet qui en manque sacrément jusque-là, allez donc lire comment des spécialistes ès crises financières ont pris des vessies pour des lanternes.
05:00 Publié dans 366 réels à prise rapide | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : 366 réels à prise rapide, feuillets d'hypnos, rené char | Facebook |
Commentaires
ne rêver qu'au possible.
Écrit par : telos | mardi, 08 janvier 2013
Ils ne savaient pas que c'était impossible alors ils l'ont fait. Mark Twain
Écrit par : la bacchante | mardi, 08 janvier 2013
C'était il y a peu, Mme Lagarde félicitait ce "cher" Mr Rajoy sur les mesures extrêmement strictes prises pour l'Espagne...
Le FMI fournira-t-il aussi la lanterne?
Écrit par : colo | mardi, 08 janvier 2013
Le FMI se garde bien d'allumer la lanterne de ce sujet.
Écrit par : la bacchante | mardi, 08 janvier 2013
Et Confucius prétendait que l'expérience était une lanterne qu'on portait sur le dos et qu'elle n'éclairait, en conséquence, que le chemin parcouru.
Écrit par : Yves | mardi, 08 janvier 2013
Encore une lanterne que le FMI se garde bien d'éclairer.
Écrit par : la bacchante | mardi, 08 janvier 2013
ça va finir par des crises de nerf.
Écrit par : thé âche | mardi, 08 janvier 2013
Après la crise de foie, ça va faire beaucoup!
Écrit par : la bacchante | mardi, 08 janvier 2013
Il y a longtemps que je prédis que le capitalisme scie le tronc sur lequel les guignols de l'ultralibéralisme se sont perchés. Même Ford avait compris que s'il voulait vendre ses voitures, il fallait qu'il paye ses ouvriers plutôt correctement. Autre inconvénient pour le système, si les gens s'aperçoivent qu'ils peuvent se passer de tous les bidules inventés pour les faire courir dans la petite roue à gagner des thunes, dépression de la conso et alors... le gros machin s'écroule. C'est en cours...
Ceci dit, à l'impossible nul n'est tenu, (référence gardée à René Char un de mes poètes culte).
Écrit par : Zoë Lucider | mardi, 08 janvier 2013
Je te renvoie vers un ancien billet, chère Zoé:
http://lesilesindigo.hautetfort.com/tag/à+l'impossible+on+est+tenu
Écrit par : la bacchante | mardi, 08 janvier 2013
Moi c'est ta photo que je trouve bien jolie et qui me fait penser aux "Stalactites de glace" de Andy Goldsworthy artiste du Land Art...
Écrit par : telophase | mardi, 08 janvier 2013
Je ne connaissais pas. Suis allée voir. Les photos et les légendes. Je ramène celle-ci:
"Stalactites de glace, pointes épaisses plongées dans la neige puis l'eau, maintenus jusqu'à ce qu'ils tiennent ensemble. Utilisation occasionnelle de bâtons fourchus comme soutien jusqu'à la prise. Concentration tendue pour les enlever. On souffle d'abord son haleine sur le bâton."
Écrit par : la bacchante | mercredi, 09 janvier 2013
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