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samedi, 27 octobre 2007

PATAQUÈS

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Je ne sais pas-t-à qu'est-ce mais je me lève ce matin avec l'envie de me bal(l)ader. Cela aurait-il un lien avec la rencontre de Jacques Roubaud ce mercredi? Le lombric -d'albatros qu'il fut un jour le poète maintenant hante la terre- sur l'estrade, faute de pieds, avance avec ses mots:

- Composer de la poésie en moi-même et en marchant, ce sont les deux seules langues que je connaisse.

Et cette autre phrase donnée pour rire, bien que...

- Il faut toujours  arriver à temps dans une gare pour rater le train précédent.

La dernière nuit s'est dissipée dans son recueil parisien La forme d'une ville change plus vite, hélas, que le coeur des humains. La bal(l)ade sera donc parisienne.

09:45 Publié dans BAL(L)ADE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : roubaud, lombric |  Facebook |

Commentaires

et aussi :faut toujours bien vérifier son équipement avant de partir !!!
;-)

Écrit par : sophiegda | dimanche, 28 octobre 2007

Un pied devant l'autre, un à un,
Les yeux voltigent au grè des rencontres.
L'APN saisit ces moments,
Cela,
Ceux pour qui, pourquoi, une rencontre fortuite nous laisse un brin de je ne sais quoi,
Belle rencontre à toi.

Écrit par : moucheron | dimanche, 28 octobre 2007

sophiegda : ne pas vérifier son matériel, parfois cela permet de bons éclats de rire...

Écrit par : moucheron | dimanche, 28 octobre 2007

tiens, j'ai offert ce recueil (La forme d'une ville change plus vite hélas...) à mon Parisien de frangin

Écrit par : agaagla | lundi, 29 octobre 2007

Les commentaires sont fermés.