lundi, 15 octobre 2012
Aujourd'hui comme un gosse 1 et 2.
198 et 199/366
Passer devant toute mise en scène censée nous impressionner, comme un gosse. Avec effronterie.
P.S.1: d'ailleurs c'est avec une effronterie involontaire que j'ai pris la contrainte de demain! Aujourd'hui avance comme un mardi!!!!
P.S.2: ce problème existentiel en ce mardi. Que suivre comme contrainte? Celle d'hier? Celle de demain? Je choisis de m'attarder sur celle-ci et mardi avance comme lundi.
06:09 Publié dans 366 réels à prise rapide | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : 366 réels à prise rapide | Facebook |
Commentaires
ça me laisserait indifférente
Écrit par : telos | lundi, 15 octobre 2012
Au moins c'est dit!
Écrit par : la bacchante | lundi, 15 octobre 2012
Passer son chemin. Ou ne par regarder ce qu'on voudrait qu'on voit, mais le brillant de la chaussure ou la petite crotte de boue qui la tache, le carrelage en (damier) échiquier où le fou en pantalon blanc va prendre le cheval en pantalon noir...
Écrit par : Yves | lundi, 15 octobre 2012
Mais si le roi est le fou, qui donc prendra le rôle du roi?
Écrit par : la bacchante | lundi, 15 octobre 2012
... ou ne pas regarder (la lectrice avait corrigé d'elle-même)
Écrit par : Yves | lundi, 15 octobre 2012
Je commenterai demain :)
Écrit par : telophase | lundi, 15 octobre 2012
En attendant ton retour, belle journée!
Écrit par : la bacchante | lundi, 15 octobre 2012
l'impression peut être trompeuse, vigilance reste de mise à tout moment.
Écrit par : thé âche | lundi, 15 octobre 2012
Toujours se méfier de l'impression d'une photo.
Écrit par : la bacchante | lundi, 15 octobre 2012
Les enfants voient ce que nous ignorons et préfèer ignorer ce qui nous intéresse.
Écrit par : Zoë Lucider | lundi, 15 octobre 2012
Si j'ai bien suivi, nous ne regardons jamais dans la même direction.
Écrit par : la bacchante | lundi, 15 octobre 2012
Un pas en arrière, en avant?
Un premier nuage rosé, le pied gauche du garçon suggèrent de poursuivre vers le mercredi.
Écrit par : colo | mardi, 16 octobre 2012
Laissons le pas du gosse me conduire vers la contrainte suivante.
Écrit par : la bacchante | mardi, 16 octobre 2012
"Passer devant toute mise en scène censée nous impressionner, comme un gosse. Avec effronterie." ça me plait beaucoup comme réflexion. Sujet à développer très intéressant.
Tu t'en sors très bien en utilisant la formule du "deux en un"... les jours avancent indépendamment les uns des autres mais en même temps les uns avec les autres...bravo :)
Écrit par : telophase | mardi, 16 octobre 2012
Contente que tu sois repassée!
Écrit par : la bacchante | mardi, 16 octobre 2012
Mais... saura-t-on jamais ce que pensent du gamin les trois acteurs ?
Écrit par : K | mardi, 16 octobre 2012
Ils ne pensent à rien d'autre qu'à leur poignée.
Écrit par : la bacchante | mardi, 16 octobre 2012
Quelle contrainte ? :)
Écrit par : Obni | mercredi, 17 octobre 2012
Celle d'hier, celle d'aujourd'hui, va savoir!
Écrit par : la bacchante | mercredi, 17 octobre 2012
Pense-t-il peut-être à l'inévitable contrainte de devenir adulte?....
Écrit par : ArRi | mercredi, 17 octobre 2012
Pense-t-il peut-être à l'inévitable contrainte de devenir adulte...
Écrit par : ArRi | mercredi, 17 octobre 2012
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