samedi, 08 décembre 2012
Aujourd'hui foule.
252/366
Foule n.f. du lat. pop. fullare "fouler une étoffe", d'après fullo "foulon"
Hier, dans la solitude de mon vendredi, assise au bord de la cheminée, la table basse recouverte de tout le travail à abattre, j'ai, par intermittence, posé mon regard sur le balancement des loungta. Les chevaux de vent caressés par le premier rayon puis foulés par une tempête de neige ont retrouvé le soir venu la douceur du soleil qui meurt au-dessus de l'horizon.
07:43 Publié dans 366 réels à prise rapide | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : 366 réels à prise rapide, vendredi, loungta | 
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Commentaires
pur moment de poésie ce matin;.merci
Écrit par : Telle | samedi, 08 décembre 2012
les prières ne sont peut être que manières de poèmes, le vent en tisse les vers.
Écrit par : thé âche | samedi, 08 décembre 2012
Manières de poèmes, c'est beau.
Écrit par : la bacchante | samedi, 08 décembre 2012
Douce caresse des mots.
Écrit par : colo | samedi, 08 décembre 2012
D'autant plus quand elle est portée par le vent.
Écrit par : la bacchante | samedi, 08 décembre 2012
De la neige ? Quelle drôle d'idée :-)
Écrit par : Zoë Lucider | samedi, 08 décembre 2012
Le ciel était devenu sombre au point que la photo semble être en noir et blanc.
Écrit par : la bacchante | samedi, 08 décembre 2012
Les commentaires sont fermés.