vendredi, 19 juillet 2013
Ursinesque
« La parole humaine est comme un chaudron fêlé où nous battons des mélodies à faire danser les ours, quand on voudrait attendrir les étoiles. »
Gustave Flaubert, Emma Bovary
Si nous trouvions, cher Gustave, des mélodies capables d'entraîner les ours dans des danses improbables, les étoiles -petite et grande ourses- abandonneraient un peu de leur superbe au-dessus de nos têtes.
22:29 Publié dans MOTS ITINÉRANTS | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : flaubert, emma bovary | 
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Commentaires
Oui, et les vaches seraient bien gardées !...
Écrit par : Topa | samedi, 20 juillet 2013
Oui, surtout Io.
Écrit par : la bacchante | lundi, 22 juillet 2013
se sourire et se taire
Écrit par : telos | samedi, 20 juillet 2013
...
Écrit par : la bacchante | lundi, 22 juillet 2013
A écouter peut-être: "la gigue de l'ours" du groupe Rue de la muette.
Écrit par : Laurent | samedi, 20 juillet 2013
Ai écouté. Il en faudra plus pour faire danser les ours, non?
Écrit par : la bacchante | lundi, 22 juillet 2013
Une phrase comme celle-là, tu y passes l'été. À te demander si t'aurais pas mieux fait d'emporter Delly ou Jean Bruce sur la plage.
Écrit par : Yves | samedi, 20 juillet 2013
Ô Surprenante Suggestion...
Écrit par : la bacchante | lundi, 22 juillet 2013
Gustave, trop fort!
Écrit par : Zoë Lucider | mardi, 23 juillet 2013
Sûr que je l'avais repérée celle-là, étonnante ! Comme dit Yves, on pourrait y passer l'été à en explorer les recoins de sens....
Écrit par : El | mercredi, 24 juillet 2013
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