dimanche, 08 février 2009
ORPHELINE
Gravure de Lambert Doomer
Lire c'est entrer en deuil lorsque se profile la dernière page, la dernière ligne. Dans ces moments-là, j'envierais presque ceux qui jamais ne lisent.
L'attentat, puis Les hirondelles de Kaboul de Yasmina Khadra engloutis dans une incivique absence au reste du monde. Attendre en une impatience fiévreuse le retour des Sirènes de Bagdad à la médiathèque.
09:13 Publié dans ROMAN | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : yasmina khadra, kaboul, bagdad | Facebook |