dimanche, 08 février 2009
ORPHELINE
Gravure de Lambert Doomer
Lire c'est entrer en deuil lorsque se profile la dernière page, la dernière ligne. Dans ces moments-là, j'envierais presque ceux qui jamais ne lisent.
L'attentat, puis Les hirondelles de Kaboul de Yasmina Khadra engloutis dans une incivique absence au reste du monde. Attendre en une impatience fiévreuse le retour des Sirènes de Bagdad à la médiathèque.
09:13 Publié dans ROMAN | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : yasmina khadra, kaboul, bagdad | Facebook |
Commentaires
oui (que dire d'autre, sinon que je n'ai pas lu ceux-là et que combinant ton expérience à la mienne je ne devrais pas les lire ?)
Écrit par : Agaagla | dimanche, 08 février 2009
Si tu te lances dans ces romans, un conseil: festina lente car terrible est le moment où il faut refermer le livre.
Écrit par : indigo | dimanche, 08 février 2009
que dire de l'attente d'un livre qui n'est pas encore fini d'être écrit comme le futur dernier de François Place qui n'arrivera qu'en octobre ou.... et d'une suite hypothétique de la déclaration, et la résistance.....
Écrit par : moucheron | dimanche, 08 février 2009
MOUCHERON: en attendant, place au vol des hirondelles!
Écrit par : indigo | dimanche, 08 février 2009
message supprimé
Écrit par : nina | mardi, 10 février 2009
NINA: L'espace des commentaires comme son nom l'indique est prévu pour commenter le billet.
Écrit par : indigo | mardi, 10 février 2009
"C'est le commencement qui est le pire, puis le milieu puis la fin ; à la fin, c'est la fin qui est le pire".
(Samuel Beckett)
Écrit par : Oncle Dan | jeudi, 05 mars 2009
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