dimanche, 26 juillet 2015
Ver à vers
" L’écriture vient des provocations auxquelles la vie nous soumet, mais parfois, plus simplement, il s’agit de répondre à des contraintes plus amicalement posées." Claude Vercey
Sur l'avers d'une tige de noyer un ver sait
qu'il va tracer sans tergiverser un verset :
quelque rêverie sans balises, veine inversée
vertige des seaux de rouille en une rue déversés ;
il se sent prêt à désarchiver des versets
qui glaçaient sous la laine pour en faire des vers, eh !
11:04 Publié dans BAL(L)ADE, MOTS ITINÉRANTS | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : ver sait, verset, jardin des possibles, dw. | Facebook |
Commentaires
Versifier à vélo sans se faire renverser !
Écrit par : Tania | dimanche, 26 juillet 2015
Converser et controverser, roue après roue !
Écrit par : la bacchante | lundi, 27 juillet 2015
Bravo, l'acrobate !...
Suggestion : tu pourrais dédier ce poème à... Claude Vercey !...
Écrit par : Topa | lundi, 27 juillet 2015
Mais bien sûr ! Voilà c'est fait ! merci Topa
Écrit par : la bacchante | lundi, 27 juillet 2015
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