mercredi, 30 mai 2012
Aujourd'hui la peine de.
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Je me sens le cœur bien trop guilleret et ne veux pas peiner à débusquer une peine : le printemps est enfin là, le jardin des possibles et le S.E.L. prennent le beau temps de prendre forme, le moindre moment libre a la certitude d’être comblé par l’extravagant roman en cours…
Je pensais en rester là pour aujourd’hui mais c’était sans compter sur le mail de l’Ours, lu tôt ce matin… Il prenait juste la peine de me prévenir que "le renard et les lapins ont enfin le cul dans les roses, chose importante à partager, et cette photo le prouve." Oh cela a l'air de rien, mais ces trois-là, je les suis saison après saison.
Il faudra que je prenne la peine de lui annoncer que les boutures du Rosa centifolia muscosa ou rosier rustique que sa fiancée m'avait confiées l'été dernier sous ses hauts gromellements, "on ne fait pas de boutures en cette saison, ton grand Pa' te le dirait", non seulement ont pris racines mais ont fleuri!!!
15:55 Publié dans 366 réels à prise rapide | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : 366 réels à prise rapide, ours gris, jardin des possibles, s.e.l., rosa centifolia muscosa | Facebook |
samedi, 12 mai 2012
Fragment d'aujourd'hui raconté en poésie.
41/366
Je laisse aux minimalistes, l'haïku et aux audacieux, le sonnet. Se contenter d'interroger le mot poésie à sa racine. Déterrer la poiêsis et y trouver "action de faire, création". Le jardin des possibles et le S.E.L. que je décline depuis quelques jours, seraient donc poétiques, en cela qu'ils sont actions pour appartenir au monde autrement, pour y adhérer sereinement.
16:19 Publié dans 366 réels à prise rapide | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : 366 réels à prise rapide, poiesis, jardin des possibles, s.e.l. | Facebook |
jeudi, 03 mai 2012
Aujourd'hui ce qu'il y a dedans.
Figuier de la biquetterie
32/366
L'envie de croire aux lendemains qui chantent, sans doute. Mais accompagnée de cette certitude qu'il faut mettre la main à la pâte. Aujourd'hui sera donc carrefour. Carrefour de désirs qui ont pris le temps pour se dire que l'heure était venue d'éclore. Avec Moucheron, nous avons en contrebas de la biquetterie, un jardin. Nous l'avons d'abord rendu potager. Insatisfaites, nous avons prêté l'oreille à l'université populaire du goût et à Michel Onfray. Nous mûrissions le désir de le rendre collectif. Justement les Indignés de Rouen cherchent un terrain. La semaine dernière, Domdom m'appelle: vous seriez partantes pour un S.E.L.? Je lui réponds: pourquoi pas un J.E.U.?
Ce soir, on se retrouve tous à la maison et il y aura sans doute dans ce jour, de l'utopie, au sens premier du terme: un lieu où il fait bon vivre.
10:23 Publié dans 366 réels à prise rapide | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : 366 réels à prise rapide, utopie, onfray, université populaire du goût, s.e.l., j.e.u., jardin des possibles | Facebook |